L’argyrie est le principal effet secondaire présumé de l’argent colloïdal. Il s’agit d’une forme de maladie qui se traduit par une coloration bleutée ou grise de la peau du patient. Cette affection est souvent associée à l’usage thérapeutique de produits à base d’argent. L’argent ionico-colloïdal de l’Institut Katharos est accompagné d’un Document Information Produit (DIP) prouvant son innocuité et sa non-toxicité.
En se référant aux études du professeur Padlewska et Schwartz, la principale cause de l’argyrie serait l’imprégnation mécanique de la peau par de très petites particules d’argent, dont les cas les plus fréquents sont observés chez les ouvriers travaillant dans les mines et plateformes de raffinage d’argent. En portant un regard sur les cas d’argyrie les plus connus, il est facile d’en déduire que leurs infections étaient engendrées par une dose élevée et une concentration de plusieurs milliers de ppm (100 000 à 300 000 ppm) d’argent mélangé avec du sodium, du sel, des protéines ou encore avec de l’eau du robinet ! Devant cette situation, il faut noter qu’aucun de ces éléments ne constitue la solution d’argent ionico-colloïdal proposé par l’Institut Katharos. Il faut aussi souligner que ces consommations massives dépassent de 70 fois la dose maximale recommandée par l’EPA.
D’après la pharmacologie publiée par Hill et Pillsbury, l’ensemble des cas d’argyrie est dû majoritairement à l'ingestion ou à la pulvérisation de nitrates d'argent concentrés entre 100 000 à 300 000 ppm. Ils précisent également que pour qu’un problème d’argyrie fasse son apparition, il faudrait que l’individu puisse ingérer plus de 600 litres d’argent dilués à 10 ppm.
En une phrase, tous les cas d’argyrie recensés n’ont rien à voir avec l’argent colloïdal, ils étaient tous dus à l’absorption massive d’autres formes de produits à base d’argent.
Comme il a été vu plus haut, l’ingestion massive d’une solution d’argent hautement concentrée (100 000 à 300 000 ppm) est l’une des principales causes de l’argyrie. Dans sa forme actuelle, la concentration d’argent colloïdal la plus élevée est de 40 ppm et est proposée par l’Institut Katharos. Pour atteindre une dose critique, il faudrait ingérer 600 litres d’argent colloïdal concentré à 10 ppm. Avec le produit proposé par l’Institut Katharos, il faudra au moins avaler 150 litres d’argent ionico-colloïdal concentré à 40 ppm par jour ! À titre de rappel, les risques d’effets secondaires comme l’argyrie dépendent de la taille des particules d’argent trouvé dans un produit. Plus, elles sont petites et plus les risques sont réduits. C’est pourquoi la taille des particules composantes de l’argent colloïdal est limitée à moins d’un nanomètre.
La FDA fut l’un des plus fervents détracteurs de l’argent colloïdal. À la demande express des fabricants, elle a mené des recherches sur de potentiels effets secondaires dus à son utilisation. Les résultats sont clairs : il n’y a aucun effet secondaire recensé à ce jour. L’avis de l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des Produits de Santé (ANSM), via la commission d'accès aux documents administratifs (CADA) vis-à-vis de l’usage externe de l’argent colloïdal a aussi été des plus explicites : aucun effet indésirable n’a été signalé.
Aussi, la plus pure solution potente d’argent colloïdal est proposée actuellement par l’Institut Katharos à 40 ppm, la plus haute concentration du marché actuel, et sous une forme ionico-colloïdal exceptionnelle présentant 96% d’ions d’argent et seulement 4% de colloïdes. Le tout est vendu 38% moins cher que le prix moyen actuel de l’argent au milligramme, mais il y en aura pour tout le monde !